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 Le pouvoir de la pensée

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Date d'inscription : 12/08/2019

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MessageSujet: Le pouvoir de la pensée   Le pouvoir de la pensée Icon_minitimeSam 23 Nov - 8:29

LA PUISSANCE DE LA PENSÉE :

L'incroyable puissance de nos pensées sur notre santé physique et mentale...Souvent sous-estimé et négligé.

Tu nourris ton corps physique avec de la " bonne nourriture ", tu alimentes ta voiture avec du " bon carburant ", alors pourquoi ne pas nourrir également ton esprit avec de " bonnes pensées ".

Sans oublier qu'un esprit en mauvaise santé impactera indirectement ou directement sur le côté physique et engendra la maladie.

Dans les publicités, dans notre entourage, nos profs, nos médecins et nos coachs, nous barratine sans cesse de manger sainement 5 fruits et légumes par jour , soyons réalistes, ce qui n'est pas possible pour les personnes ayant un faible budget.

Avec réflexion peut-être le fait de se nourrir en pensée bienveillante est plus prioritaire que de chercher à manger sainement. Faire un travail sur soi, changer sa façon les choses, relativiser, augmenter son énergie de manière saine et pensée plus positivement, ne demande aucun budget mais juste une prise de conscience et un effort de volonté, ce qui est accessible à tous.

Après tout, c'est l'esprit et les états émotionnels qui agit sur le corps.

Mais attention ...
Se dire « tout va bien » sans nuance ni anticipation des difficultés peut avoir des effets contre-productifs. Quand on te dis "sois plus positif , pense positif, arrete d'être négatif, il faut être positif"cela ne veut pas dire qu'il faut de mentir à soi et même et nier la réalité.

Cette pratique de dire tout va bien je vais bien à longueur de route. Ce sont les adeptes de la pensée positive, une branche du développement personnel qui, du premier livre du pasteur Norman Vincent Peale en 1952 (La Puissance de la pensée positive, Éd. Marabout) au succès mondial, Le Secret de Rhonda Byrne (Éd. Un monde différent), se caractérise par la diffusion d'une technique mentale a priori simpliste: «voir» le meilleur, pour l'attirer à soi et le matérialiser ainsi dans la réalité.

Les affirmations positives sans réelle fondation, du type «je suis une personne aimable», ne profitent pas aux personnes qui manquent de confiance en elles et qui ne croient pas en ce qu'elle disent.

Pour être en bonne santé et enclencher les capacités d'auto-guérison , il faut certe penser positive mais pas en étant dans le déni et en étant réaliste honnête envers soi.

En revanche, lorsque la personne se parle à elle-même en des termes positifs qui n'appartiennent qu'à elle, lorsqu'elle a vraiment cherché en quoi pouvait résider ses forces, cela lui permet d'obtenir de meilleurs résultats, ainsi que cela a été démontré chez des sportifs pendant l'épreuve, notamment des tennismen.

La visualisation positive, elle doit être pratiquée dans les limites du raisonnable. On ne s'imagine pas ayant déjà atteint le succès ou la guérison.

Mais on se passe et on imaginr dans notre tête comme “le film” ou des images de ce qui est nécessaire à mettre en œuvre pour les atteindre

Mais alors, quels mots pour que ces formules ne se limitent pas à diffuser de la pensée magique? «On emploie le futur immédiat», précise le coach. «“Je vais renforcer ma confiance en moi” plutôt que “j'ai confiance en moi” qui ne renforce que les doutes ; ou encore “ma confiance en moi s'améliore chaque jour”.» Ainsi, plutôt que se préparer parfois à de sévères désillusions, on apprend à ouvrir de nouveaux chemins dans sa manière de pensée.

L'inaction et la pensée négative sur notre corps

La personnalité d'un individu aurait un rôle important dans la manifestation du cancer...

C'est une piste dérangeante, y compris pour certains médecins : les individus qui taisent leur ressenti, ne s'expriment pas (ou peu), sont dans l'inaction et masquent leurs inquiétudes aux quotidiens seraient plus exposés au risque de développer une tumeur. Il faudrait alors agir sur leur mode de relation aux autres.


La clef pourrait se trouver dans les mécanismes de réaction au stress, en grande partie élucidés aujourd'hui. Selon la thèse d'Yvane Wiart, les répressifs affectifs, qui ne savent ni formuler leurs besoins affectifs, ni deviner ceux des autres, sont soumis à de fortes tensions relationnelles. "Cette forme méconnue de stress chronique a les mêmes effets que d'autres, plus évidentes, comme la pression au travail ou encore l'arrivée d'un enfant lourdement handicapé dans une famille", affirme la psychologue. 

Lesquels? D'abord, un affaiblissement des défenses immunitaires. Le stress fait notamment baisser le nombre et l'efficacité des globules blancs chargés de l'élimination des cellules anormales, dont les cellules cancéreuses. Ensuite, et c'est moins connu, il agit au coeur même des chromosomes, ces bâtonnets formés de brins d'ADN porteurs de l'information génétique de chaque individu. 

La colère est un exemple. Dans les deux heures qui suivent un emportement, le risque pour un individu de souffrir d'un infarctus est multiplié par cinq et celui de souffrir d'un AVC par trois, selon la méta-analyse (une synthèse des résultats de toutes les études publiées dans le monde sur le sujet) effectuée par une équipe américaine et parue le 4 mars dans la revue European Heart Journal. Ce risque reste faible en valeur absolue, mais il constitue une menace réelle pour les personnes connaissant des accès de colère récurrents.

Les voies qu'emprunte l'esprit pour parler au corps sont de moins en moins impénétrables. De nouvelles disciplines ont aussi émergé, croisant plusieurs spécialités et portant, de ce fait, des noms à rallonge. La psychoneuroimmunologie associe la psychologie, la neurobiologie et l'immunologie (l'étude de notre système de défense contre les microbes). Elle vise à comprendre la manière dont le psychisme influe sur l'organisme. Même finalité pour la psychoneuro - endocrinologie, qui implique l'endocrinologie (la science des hormones).  

La neuropsychanalyse, elle, se propose d'explorer les convergences possibles entre les neurosciences et la psychanalyse. En jeu, à chaque fois : le rôle du stress psychologique, qu'il provienne du travail, des relations conjugales ou familiales, ou encore d'événements traumatisants tels qu'un deuil. Confronté à l'adversité sur une trop longue période, l'individu voit se réduire ses défenses immunitaires et subit des phénomènes chroniques d'inflammation tandis que, à l'échelle des cellules, l'usure de ses chromosomes s'accélère. 

Face au danger, notre organisme, depuis les origines de l'homme, se prépare instantanément à l'action - le combat, ou la fuite - en produisant des hormones qui dilatent les bronches, accélèrent le coeur et le rythme de la respiration. Si le danger s'évanouit, le métabolisme revient à la normale. Mais si la situation stressante perdure, ce bain d'hormones finit par devenir nocif.  

C'est ce qu'explique de manière très didactique la pédiatre Catherine Gueguen dans le livre Pour une enfance heureuse, repenser l'éducation à la lumière des dernières découvertes sur le cerveau, qu'elle vient de publier aux Editions Robert Laffont. "La sécrétion prolongée de cortisol [l'une des hormones du stress] peut modifier le métabolisme et l'immunité de l'organisme, entraîner le développement de maladies chroniques et de maladies auto-immunes (diabète, sclérose en plaques, polyarthrite rhumatoïde)", écrit-elle, citant une recherche publiée en 2013. 

Pensée positif

Cultiver des relations de qualité avec ses proches

A l'inverse, d'autres hormones se révèlent bénéfiques pour la santé, comme l'ocytocine, un puissant anxiolytique. "Elle est sécrétée lors de toute stimulation sensorielle douce : les mots doux, la tétée [pour le bébé], le contact tendre, les caresses, les baisers, l'orgasme, mais aussi le simple contact avec l'eau chaude", note le médecin. L'ocytocine est aussi libérée, en dehors de tout contact physique, lorsqu'on entretient une relation agréable avec autrui.  

Source :
https://www.google.com/amp/s/www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/comment-l-esprit-soigne-le-corps_1578736.amp.html

http://vitalite-eveillee.fr/le-pouvoir-de-la-pensee-positive/



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